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Thi-My-Anh
NEILDEZ-NGUYEN
Maître de conférences
Section : Sciences de la Vie et de la Terre
Thématiques :
Génétique et biologie moléculaire

Biographie

Thi My Anh NEILDEZ-NGUYEN a réalisé une thèse en Hématologie, à l’Institut de Protection et de Sûreté Nucléaire, sur la production de granulocytes à partir de progéniteurs hématopoïétiques pour leur utilisation lors d'une aplasie radio-induite accidentelle. Ce travail a été distingué, en 1998, par un Prix de Thèse de la Chancellerie des Universités de Paris.

Lors de ses études post-doctorales, elle s’est intéressée à la lignée érythroïde du point de vue de la production massive de globules rouges à but transfusionnel, et du couplage apoptose-différenciation pour comprendre le blocage de la maturation érythroïde terminale.

En 2000, elle a obtenu le Prix de Recherche Fondamentale, à la VIIIème Journée Scientifique de St-Antoine, pour avoir réalisé la preuve de concept de production massive de globules rouges à partir de sang de cordon, permettant la génération de l’équivalent d’une à trois unités transfusionnelles par poche de sang.

Elle est recrutée comme Maître de conférences à l’École Pratique des Hautes Études en 2002.

Tout son parcours scientifique par la suite s’est porté sur la compréhension des mécanismes régissant la différenciation cellulaire.

Elle a notamment travaillé au Généthon, de 2004 à 2019, sur le développement de stratégies d’inhibition des réactions immunitaires engendrées par la thérapie génique.

Depuis 2020, elle a rejoint le Centre de Recherche Saint-Antoine pour travailler sur les mécanismes d’immunotoxicité de la dioxine.

Thi My Anh NEILDEZ-NGUYEN a réalisé une thèse en Hématologie, à l’Institut de Protection et de Sûreté Nucléaire, sur la production de granulocytes à partir de progéniteurs hématopoïétiques pour leur utilisation lors d'une aplasie radio-induite accidentelle. Ce travail a été distingué, en 1998, par un Prix de Thèse de la Chancellerie des Universités de Paris.

Lors de ses études post-doctorales, elle s’est intéressée à la lignée érythroïde du point de vue de la production massive de globules rouges à but transfusionnel, et du couplage apoptose-différenciation pour comprendre le blocage de la maturation érythroïde terminale.

En 2000, elle a obtenu le Prix de Recherche Fondamentale, à la VIIIème Journée Scientifique de St-Antoine, pour avoir réalisé la preuve de concept de production massive de globules rouges à partir de sang de cordon, permettant la génération de l’équivalent d’une à trois unités transfusionnelles par poche de sang.

Elle est recrutée comme Maître de conférences à l’École Pratique des Hautes Études en 2002.

Tout son parcours scientifique par la suite s’est porté sur la compréhension des mécanismes régissant la différenciation cellulaire.

Elle a notamment travaillé au Généthon, de 2004 à 2019, sur le développement de stratégies d’inhibition des réactions immunitaires engendrées par la thérapie génique.

Depuis 2020, elle a rejoint le Centre de Recherche Saint-Antoine pour travailler sur les mécanismes d’immunotoxicité de la dioxine.