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Michaël
GUICHARD
Directeur d'études
Section : Sciences historiques et philologiques
Chaire : Histoire et philologie de la Mésopotamie
Thématiques :
Philologie et sciences des textes Mondes anciens

Biographie

Après une thèse de doctorat consacrée au trésor royal du palais de Mari d’après les sources textuelles (publiée en 2004), Michaël Guichard est devenu maître de conférences à partir de 2001 à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne où il a enseigné l’assyriologie et l’histoire ancienne jusqu’à 2014. Il a effectué plusieurs missions épigraphiques dans des musées en Syrie (Damas, Deir ez-Zor et Alep) et aux USA (université de Cornell). L’édition d’un corpus de lettres inédites de Mari qui ont pour sujet les affaires politiques de Syrie du Nord a débouché sur l’obtention d’une habilitation à diriger des recherches en 2006.

 

En 2014, il a été élu directeur d’études (Histoire et Philologie de la Mésopotamie) à l’École Pratique des Hautes Études. Ses travaux sont consacrés à l’édition des « archives » de Mari, et en particulier à la riche correspondance des vassaux et cités du Haut Habur (Nord de la Syrie). D’autres documentations provenant d’Irak (Ešnunna, Larsa) et la collection cunéiforme des Hautes Études (le fonds René Labat) occupent ses recherches actuelles. La publication du poème épique akkadien, l’un des plus anciens connus à ce jour, l’Épopée de Zimri-Lim, lui a valu le prix Saintour de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 2016.

 

Son enseignement à l’EPHE traite de l’histoire politique et culturelle des royaumes amorrites au début du deuxième millénaire (« le monde de mari ») et de la littérature en langue sumérienne et akkadienne.

Après une thèse de doctorat consacrée au trésor royal du palais de Mari d’après les sources textuelles (publiée en 2004), Michaël Guichard est devenu maître de conférences à partir de 2001 à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne où il a enseigné l’assyriologie et l’histoire ancienne jusqu’à 2014. Il a effectué plusieurs missions épigraphiques dans des musées en Syrie (Damas, Deir ez-Zor et Alep) et aux USA (université de Cornell). L’édition d’un corpus de lettres inédites de Mari qui ont pour sujet les affaires politiques de Syrie du Nord a débouché sur l’obtention d’une habilitation à diriger des recherches en 2006.

 

En 2014, il a été élu directeur d’études (Histoire et Philologie de la Mésopotamie) à l’École Pratique des Hautes Études. Ses travaux sont consacrés à l’édition des « archives » de Mari, et en particulier à la riche correspondance des vassaux et cités du Haut Habur (Nord de la Syrie). D’autres documentations provenant d’Irak (Ešnunna, Larsa) et la collection cunéiforme des Hautes Études (le fonds René Labat) occupent ses recherches actuelles. La publication du poème épique akkadien, l’un des plus anciens connus à ce jour, l’Épopée de Zimri-Lim, lui a valu le prix Saintour de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 2016.

 

Son enseignement à l’EPHE traite de l’histoire politique et culturelle des royaumes amorrites au début du deuxième millénaire (« le monde de mari ») et de la littérature en langue sumérienne et akkadienne.